C’est ce qu’évoque la plage de N’Gouja dès que l’on foule le sable fin de cette anse du sud sauvage. Côté lagon, c’est le domaine d’une centaine de tortues de mer qui y ont élu domicile à l’année, viennent se ravitailler dans les herbiers et pondre sur le sable blond. Côté jardins, de facétieux lémuriens appelés ici Makis, jouent à cache à cache avec les visiteurs. Un éden bordé par les eaux turquoise de l’océan indien ombragé d’impérieux baobabs : n’oubliez pas vos masques ! 

Florilège de cétacées

Dauphins ou baleines ? Entre deux eaux, mon cœur balance. Pas moins de 20 espèces de dauphins ont été observées dans les eaux mahoraises et ce toute l’année. Une découverte à la journée avec pique-nique sur un îlot ou bien une escapade au lever du soleil sont organisées quotidiennement et garantissent l’observation des emblématiques cétacés. 

En saison de juillet à octobre ; on part à la recherche des souffles de baleines selon un protocole bien rodé : approche en zodiac, moteur débrayé  à une distance d’au moins 100 mètres de sorte à ne pas déranger les grands mammifères. Trois prestataires se sont engagés à respecter ces certifications HQWW (High Quality Whale Watching) : Maitai croisières, Planète bleue (des catamarans) et Cétamayotte (un semi-rigide). Spectacle grandiose garanti dans le respect de l’environnement ! 

Les raies Manta quant à elles sont présentes dans le lagon de mars à juin et observables en palme masque et tuba.